Qu'il soit inspiré de la lyre byzantine (semblable à un treuil), de l'instrument à cordes à archet, du rebec médiéval ou de la lire de braccio, un instrument à cordes de la Renaissance, la première version d'un violon est apparue tôt en Italie en Italie. Andrea Amati est reconnu comme le premier créateur connu du violon. Le violon, qui a précédé le violon, est également étroitement lié. Celui-ci est plus gros qu'un violon et il est joué droit, comme un violoncelle. Parmi les autres instruments à cordes pré-violon, on peut citer le rabbin arabe, qui a conduit au rebec européen médiéval.

Andrea Amati

Amati vivait à Crémone, en Italie. Il a d'abord étudié comme luthier. En 1525, il devient maître fabricant d'instruments. Amati avait été chargé par la grande famille Médicis de créer un instrument qui ressemblait à un luth mais qui était plus facile à jouer. Il a standardisé la forme de base, la forme, la taille, les matériaux et la construction du violon. Ses créations ont donné à la famille de violons moderne son apparence aujourd'hui, mais présentaient des différences majeures. Les premiers violons avaient un manche plus court, plus épais et moins incliné. Le manche était plus court, le chevalet était plus plat et les cordes étaient en boyau. Environ 14 des premiers violons Amati commandés par Catherine de Médicis, Reine Régente de France, existent toujours. D'autres constructeurs de violons connus sont Gasparo da Salò et Giovanni Maggini, tous deux de Brescia, en Italie. Au XVIIe et au début du XVIIIe siècle, l'art de la fabrication du violon atteint son apogée. Les Italiens Antonio Stradivari et Giuseppe Guarneri, ainsi que l'Autrichien Jacob Stainer, sont les plus connus durant cette période. Stradivari a été l'élève de Nicolo Amati, le petit-fils d'Andrea Amati. Les violons Stradivarius et Guarneri sont les violons les plus précieux qui existent. 

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